Ce qu’on garde en 2026… et ce qu’on laisse derrière nous

vie-dagence

Décembre est toujours un moment un peu à part.
C’est le mois où l’on ralentit, où l’on fait le point, où l’on prend enfin le temps de regarder ce qui a vraiment fonctionné… et ce qui mérite d’être laissé derrière.

Dans l’univers de la communication de marque, 2025 a été une année dense.
Plus de formats, plus de canaux, plus d’outils, plus de contenus.
Mais pas forcément plus de clarté.

Chez MouvementCom, on ne croit pas aux listes de tendances toutes faites.
On croit plutôt à l’observation, à l’expérience terrain et au recul.
À ce qui fonctionne dans la durée, et à ce qui s’essouffle malgré le bruit qu’on lui fait.

Alors, à l’approche de 2026, on a eu envie de faire un exercice simple mais essentiel : faire le tri.

Voici ce que nous choisissons de garder pour l’année à venir…
et ce que nous décidons, volontairement, de laisser derrière nous.

Cet article propose notre lecture de la communication de marque 2026, à travers ce que nous choisissons de garder, d’ajuster ou de laisser derrière nous.

Côté réseaux sociaux

Les réseaux sociaux restent un pilier incontournable de la communication.
Mais en 2025, ils ont clairement gagné en maturité.

Ce qu’on garde en 2026

On garde une présence régulière, pensée et assumée.
Publier reste important, mais publier avec intention l’est encore plus.

Les contenus qui fonctionnent vraiment sont ceux qui :

  • incarnent une marque ou une équipe

  • racontent quelque chose de réel

  • privilégient la clarté à la surenchère

Les formats simples (carrousels, photos, vidéos courtes ) restent efficaces lorsqu’ils sont bien exécutés et alignés avec une stratégie globale.

En 2026, les réseaux sociaux continuent d’être un levier puissant,
à condition d’être utilisés comme un outil de communication, pas comme une obligation.

Ce qu’on laisse derrière nous

On laisse :

  • publier pour publier

  • courir après chaque nouveauté sans recul

  • les contenus trop lisses, interchangeables, sans personnalité

L’époque où il suffisait d’être présent pour être visible est révolue.
Aujourd’hui, ce qui fait la différence, ce n’est pas la fréquence seule, mais la cohérence et l’authenticité.

Côté graphisme & identité visuelle

En 2025, le graphisme a repris une place centrale.
Non pas comme un simple habillage, mais comme un véritable marqueur d’identité.

Ce qu’on garde en 2026

On garde les identités visuelles claires, reconnaissables et cohérentes.
Celles qui traversent les supports sans se diluer.

Un bon graphisme ne cherche pas à suivre toutes les tendances.
Il cherche à traduire une intention, une personnalité, un positionnement.

On garde aussi :

  • la constance dans le temps

  • l’attention portée aux détails

  • une vraie réflexion sur l’image de marque

Parce qu’une identité visuelle bien pensée rassure, crédibilise et marque les esprits.

Ce qu’on laisse derrière nous

On laisse :

  • les refontes graphiques faites “parce que c’est le moment”

  • les identités trop dépendantes d’une mode passagère

  • le graphisme pensé uniquement pour un seul canal, souvent les réseaux sociaux

Une identité visuelle n’est pas un décor.
C’est une base. Et une base solide ne se reconstruit pas tous les six mois.

Côté web & création de sites

En 2025, beaucoup de marques ont (re)découvert une évidence :
un site internet n’est pas là pour faire joli, mais pour être utile.

Ce qu’on garde en 2026

On garde les sites pensés pour les utilisateurs, pas uniquement pour les moteurs de recherche ou les tendances graphiques du moment.

Un bon site, aujourd’hui, c’est :

  • un message clair dès les premières secondes

  • une navigation simple

  • un parcours logique

On garde aussi l’idée qu’un site s’inscrit dans un écosystème global : réseaux sociaux, campagnes, contenus, référencement. Il ne vit jamais seul.

Ce qu’on laisse derrière nous

On laisse :

  • les sites vitrines sans objectif précis

  • les effets visuels inutiles qui compliquent la navigation

  • le design qui prend le pas sur l’expérience

Un site peut être beau.
Mais s’il n’est pas compréhensible, il ne remplit pas son rôle.

Côté marketing & publicité

En 2025, le marketing a confirmé une chose : les messages génériques ne fonctionnent plus.

Ce qu’on garde en 2026

On garde les campagnes ciblées, pensées pour un public précis, avec un message clair et assumé.

Que ce soit via la publicité en ligne, l’emailing, les newsletters ou la presse,
ce qui fonctionne, c’est la cohérence entre le fond et la forme.

On garde aussi la logique de test, d’analyse et d’optimisation.
Le marketing n’est pas figé : il s’ajuste, il s’améliore, il évolue.

Ce qu’on laisse derrière nous

On laisse :

  • arroser large sans stratégie

  • multiplier les canaux sans fil conducteur

  • la pression commerciale déguisée en contenu

En 2026, mieux vaut moins de campagnes, mais mieux pensées.

Côté photo & vidéo

Le visuel a continué de prendre de la place en 2025.
Mais la quantité n’a jamais remplacé le sens.

Ce qu’on garde en 2026

On garde les images et les vidéos qui racontent quelque chose.
Celles qui montrent une réalité, une ambiance, une intention.

On garde :

  • l’authenticité

  • la qualité, même dans la simplicité

  • des contenus alignés avec l’identité de la marque

La photo et la vidéo restent des leviers puissants lorsqu’elles servent un message clair.

Ce qu’on laisse derrière nous

On laisse :

  • les contenus trop lisses, trop parfaits

  • la vidéo produite “parce qu’il faut faire de la vidéo”

  • les images sans histoire

Un bon visuel n’est pas celui qui impressionne le plus,
mais celui qui fait passer le bon message.

Côté événementiel

Après plusieurs années de transformations, l’événementiel a retrouvé une place centrale.
Mais lui aussi a évolué.

Ce qu’on garde en 2026

On garde l’événement comme une expérience à part entière.
Un moment pensé en amont, construit autour d’un objectif clair et d’un fil conducteur.

Ce qui compte :

  • l’émotion

  • le vécu

  • la cohérence avec l’image de la marque

Un événement réussi ne se résume pas à un lieu ou à un timing.
C’est une histoire que l’on fait vivre.

Ce qu’on laisse derrière nous

On laisse :

  • les événements sans intention

  • le “faire comme tout le monde”

  • l’événement pour l’événement

En 2026, un événement doit avoir du sens pour ceux qui y participent.

Bref..

2026 ne sera pas l’année du “toujours plus”.
Ce sera l’année du mieux pensé, du plus cohérent, du plus humain.

Communiquer efficacement, ce n’est plus multiplier les actions.
C’est faire les bons choix, au bon moment, avec une vision claire.

Chez MouvementCom, c’est exactement cette approche que nous défendons :
accompagner les marques dans une communication qui a du sens, qui dure, et qui leur ressemble.

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